Taguée, par Leslie darling.
1. Je suis curieuse, c'en est même obsessionnel. J'aime tout savoir, mais pas vraiment tout contrôler.
2. J'observe. De ce regard qui me fera vous arrêter en pleine rue pour vous montrer une photo de toute beauté qui ne sera jamais prise. Des instantanés, clichés éphémères pour l'esprit. Genre c'est trop joli.
3. J'aime écrire. Sauf que, les mots me fuient des fois et que je n'aime pas écrire comme dans le 2.
4.Je suis contradictoire de nature. Originaire du Nord et du Sud, on pourrait presque croire que je suis deux à l'intérieur : oui/non, noir/blanc, gamine .... mature. Bref.
5.Je ris quand je me fais mal, je pleure pour un rien, et je change d'humeur toutes les deux secondes, voir en fonction du temps, des personnes, ou de l'atmosphère.
6.Je ne parle pas énormément, quand je ne connais pas les personnes suffisamment.
Dimanche 23 mars 2008 à 21:49
Dimanche 16 mars 2008 à 20:31
Elle m'aura troublée aujourd'hui. Ses mots restent d'habitude secrets, fermés. On sent l'odeur, sans voir l'objet du désir. Frustrant, et en même temps, c'est son style. On accepte. Ou pas.
Pas aujourd'hui. Différent.
Premier article, qui me trouble, par les prénoms, par la coïncidence, trop vivante, imprégnée de ma réalité. Un tag, un seul mot. Le trouble s'intensifie.
Deuxième article, ce mot qui revient si souvent dernièrement chez elle, porteurs de ses espoirs. Et qui est aussi celui qui résonne le plus durement peut-être.
Je pars. Je re-pars. C'en est presque une certitude maintenant.
Je suis partie, il y a de cela près de 5 ans, du Sud. Loin de l'endroit où j'avais toujours vécue, où ma vie avait tournée au cauchemar. De cette période, il me reste des souvenirs. Et deux 'amies'. Sœurs jumelles. C'est dire.
Je re-pars. Là-bas ou ailleurs, peut importe, puisque c'est le Sud. Avec des regrets, et quelques mois devant pour en profiter.
Troisième article. Absence. Ce serait mentir de dire que je connais. Je préfère la distance.
Pas aujourd'hui. Différent.
Premier article, qui me trouble, par les prénoms, par la coïncidence, trop vivante, imprégnée de ma réalité. Un tag, un seul mot. Le trouble s'intensifie.
Deuxième article, ce mot qui revient si souvent dernièrement chez elle, porteurs de ses espoirs. Et qui est aussi celui qui résonne le plus durement peut-être.
Je pars. Je re-pars. C'en est presque une certitude maintenant.
Je suis partie, il y a de cela près de 5 ans, du Sud. Loin de l'endroit où j'avais toujours vécue, où ma vie avait tournée au cauchemar. De cette période, il me reste des souvenirs. Et deux 'amies'. Sœurs jumelles. C'est dire.
Je re-pars. Là-bas ou ailleurs, peut importe, puisque c'est le Sud. Avec des regrets, et quelques mois devant pour en profiter.
Troisième article. Absence. Ce serait mentir de dire que je connais. Je préfère la distance.
Dimanche 9 mars 2008 à 4:03
"HA. L'envie d'écrire est revenue.
Avec les yeux lourds de sommeil.
Je prépare une surprise.
Un cadeau, bientôt en ligne j'espère."
Avec les yeux lourds de sommeil.
Je prépare une surprise.
Un cadeau, bientôt en ligne j'espère."
Un indice et parce que ça faisait longtemps aussi.
Samedi 23 février 2008 à 22:10
Laisser les mots couler. L'esprit vagabonder. Tête penchée, se concentrer.
Ecrire et ne pas pleurer.
La fatigue a un côté terrible. Vague, raz-de-marée. Rez-de-chaussée, tout le monde descend. Se déverser de l'ascenseur.
Comme se répandre dans le mal-être.
Les gens glissent d'indifférence. On tourne en rond, sur nous-même.
Je me laisse aller. Essayer, se fondre dans l'atmosphère. Coulée dans les particules, viser la transparence.
Se faire laver le plus petit atome, le débarrasser de ses impuretés. Renaître. Purgée. Et essayer, plus fort, d'exister.
Jusqu'à encore, se retrouver dépassée. Recoller les bribes de pensée, amalgame. A nouveau être, la même qu'autrefois.
Délaisser les chemins et se complaire dans l'impasse.
Accélérer, se prendre le mur.
Bonheur sadique, angoisse suffocante. Appuyer fort pour remonter. Y parvenir.
Recommencer.
Ecrire et ne pas pleurer.
La fatigue a un côté terrible. Vague, raz-de-marée. Rez-de-chaussée, tout le monde descend. Se déverser de l'ascenseur.
Comme se répandre dans le mal-être.
Les gens glissent d'indifférence. On tourne en rond, sur nous-même.
Je me laisse aller. Essayer, se fondre dans l'atmosphère. Coulée dans les particules, viser la transparence.
Se faire laver le plus petit atome, le débarrasser de ses impuretés. Renaître. Purgée. Et essayer, plus fort, d'exister.
Jusqu'à encore, se retrouver dépassée. Recoller les bribes de pensée, amalgame. A nouveau être, la même qu'autrefois.
Délaisser les chemins et se complaire dans l'impasse.
Accélérer, se prendre le mur.
Bonheur sadique, angoisse suffocante. Appuyer fort pour remonter. Y parvenir.
Recommencer.
Texte de cette semaine. Corrigé à l'aide de Romain. Thanks.
Mardi 25 décembre 2007 à 1:10
La lune s'est levée.
Berceau d'utopies,
Ombre délavée
Dans le ciel infini
Doux espoir,
Caresse
Tant attendue, ce soir
C'est ma promesse
Tous les serments
Ne valent pas
Quand la lune lève le vent
Son éclat
Instant magique
D'où né l'inspiration
Fragile, magnétique
Comme ta respiration
. L a m e r m e m a n q u e .
Berceau d'utopies,
Ombre délavée
Dans le ciel infini
Doux espoir,
Caresse
Tant attendue, ce soir
C'est ma promesse
Tous les serments
Ne valent pas
Quand la lune lève le vent
Son éclat
Instant magique
D'où né l'inspiration
Fragile, magnétique
Comme ta respiration
. L a m e r m e m a n q u e .