We were singing Hallelujah.
A voice, my smile. It is beyond words.
I didn't cry. But now ...
Who by fire.
Pay your tribute to the man.
Heureusement qu'il n'est pas nécessaire d'arriver à sa hauteur pour séduire.
Pour la peine j'ressors les vinyles.
Mercredi 23 juillet 2008 à 9:57
Lundi 14 juillet 2008 à 21:55
Il y a ces mots qu'on ne dit pas. La chanson de Debout sur Le Zinc.
Ces mots qu'on n'écrit pas.
Il y a tellement de choses auxquelles on ne devrait pas rêver, tellement de visages dans la tête qui devraient s'effacer.
Tellement de paroles qui restent bloquées, là dans la gorge, petite boule compacte. Les larmes qui ne coulent plus, parce que l'on grandit, que l'on apprend, que cela ne sert pas, ne sert plus.
On devrait éviter la balance, les sentences. Oublier les mauvaises habitudes.
Je tourne en rond autour des vrais mots, ceux que je devrais écrire, dire. Je ne peux pas, il faut s'en tenir aux apparences.
Dire non à ceux qui proposent, facilement. "J'crois pas qu'on recherche la même chose". Oh joie, je suis baisable.
L'envie n'est pas suffisamment forte, ni pressante.
Dis moi, est-ce qu'on sort ensemble ? On joue encore, on fait semblant ? J'ai ptêt' une amie (petite).
VTFV.VTFF.
Oui, oui.
C'est discordant, discontinu, je pose les lettres là pour faire joli, je sais bien que ça ne sert à rien, puisque je ne parle pas. Mais, faut comprendre, faut m'comprendre, j'en ai besoin putain, j'en ai besoin, de ça, d'écrire, d'poser ma vie là, j'existe un peu comme ça, vive les procurations.
J'ai raté 21h21, j'savais pas quoi souhaiter. Juste un prénom dans ma tête. Un truc au fond de mon esprit, au fond du trou dans la poitrine à gauche. Je ne suis pas amoureuse.
Maismaismaismaismais.
Prendre un bain de minuit le 21 juillet. Dans la mer.
God is an astronaut (en écoute chez Distant-Skies ) + debout sur le zinc
Ces mots qu'on n'écrit pas.
Il y a tellement de choses auxquelles on ne devrait pas rêver, tellement de visages dans la tête qui devraient s'effacer.
Tellement de paroles qui restent bloquées, là dans la gorge, petite boule compacte. Les larmes qui ne coulent plus, parce que l'on grandit, que l'on apprend, que cela ne sert pas, ne sert plus.
On devrait éviter la balance, les sentences. Oublier les mauvaises habitudes.
Je tourne en rond autour des vrais mots, ceux que je devrais écrire, dire. Je ne peux pas, il faut s'en tenir aux apparences.
Dire non à ceux qui proposent, facilement. "J'crois pas qu'on recherche la même chose". Oh joie, je suis baisable.
L'envie n'est pas suffisamment forte, ni pressante.
Dis moi, est-ce qu'on sort ensemble ? On joue encore, on fait semblant ? J'ai ptêt' une amie (petite).
VTFV.VTFF.
Oui, oui.
C'est discordant, discontinu, je pose les lettres là pour faire joli, je sais bien que ça ne sert à rien, puisque je ne parle pas. Mais, faut comprendre, faut m'comprendre, j'en ai besoin putain, j'en ai besoin, de ça, d'écrire, d'poser ma vie là, j'existe un peu comme ça, vive les procurations.
J'ai raté 21h21, j'savais pas quoi souhaiter. Juste un prénom dans ma tête. Un truc au fond de mon esprit, au fond du trou dans la poitrine à gauche. Je ne suis pas amoureuse.
Maismaismaismaismais.
Prendre un bain de minuit le 21 juillet. Dans la mer.
God is an astronaut (en écoute chez Distant-Skies ) + debout sur le zinc