Dimanche 11 novembre 2007 à 19:33

" Les barreaux de ma cage sont mes garde-fous. Les liens qui m'enchaînent, ma liberté."

Sur un fond d'Air Gear et d'amitié. Amitié. Valeur suprême qui fait qu'à minuit ou 3 h du mat', mon portable est toujours allumé.

Que jamais, jamais je n'oublie le passé.

Paroxysme de la contradiction /
Moi qui ne rêve que de liberté, je m'attache ... aux autres. Par des liens invisibles mais tenaces, je me ligote. Enserrée dans cette masse de sentiments et d'émotions, je suis éponge de vos douleurs et bonheurs. Lunatique, évidemment.

Protégée comme je suis/ Par cette amitié ... amitié fraternelle. Pourquoi certains me sentent si fragile qu'ils éprouvent la nécessité de me protéger, au-delà de ce qu'ils devraient peut-être.
Mon frère, bien sûr, ce demi-dieu traître qui m'a guidé. Mon frère, mon demi.

Et quand je m'éloigne de lui, quand enfin mes relations redeviennent normales, qu'enfin je te dis, Xavier, une partie de la vérité, tu inverses les rôles.
Suis je ta soeur de coeur ?

Honneur. Mais :  Tu n'es pas, tu sais. Pas obligé. Pas responsable.

Damdamdamdamdam.

Comme qui dirait. Eine schöne Nacht mit sweet dreams.
Ouaip.

Samedi 13 octobre 2007 à 13:08




(Et même que si vous cliquez, vous écouterez Frou Frou)

Dimanche 7 octobre 2007 à 17:28

Je suis une photographie. Du Noir. Du Blanc. Du Rouge. Mélange de spriritueux qui lui donne cette couleur troublée.

Je suis une photographie. Un fantôme. Un souvenir. Un soupir.

Du genre de celle qu'on commence à brûler et qui sans avoir besoin de plus d'essence se consume d'elle même.

Un peu rayée, déchirée, cornée, mais toujours imprimée là, derrière la rétine. Toujours poursuivie par l'oeil du photographe, et son esprit observateur. A la fois proie et prédateur.

Je suis une photographie. Malléable, et pourtant figée. Dans le temps, le passé et le photographe.

Je suis une photographie, l'empreinte d'émotions, et même de sentiments. Des gens, des visages. Des couleurs, effacées, délavées par des larmes ravalées.

Je suis. L'âme d'artistes. Eponge de vos sentiments. Songe perdu aux confins du labyrinthe.

Jeudi 6 septembre 2007 à 20:57

Le titre n'a rien à voir. C'est la suite de Petite Fille ( Chapitre III) , ça tombe bien c'est presque mon quotidien du moment. Sauf que Jo n'existe pas.

" Maman et son compagnon du moment se disputent. Petite acalmie au milieu des cris et des jets de tout ce qui traîne.
Je sors de ma chambre puis de l'appartement. Monte les marches quatre à quatre et sonne chez un voisin. C'est Jo qui m'ouvre.
Pas de questions, pas besoin de paroles, ma seule présence lui fournit toute l'explication.
Je pars me blottir sous sa couette, calée dans un coin du mur. Il me rejoint.
C'est comme un film qu'on reppasserait en boucle. Toujours la même chose. Arriver, se coucher, dormir, se réveiller et partir.
Seules ses mains peuvent me calmer."

Ecrit le 21/05/2006.


Jeudi 16 août 2007 à 17:24







" -Tu sais quand ton coeur déborde, et que tu refuses de te laisser envahir pour les émotions, pourquoi tu fais ça ? 

 -Parce que tout va bien. Et que sans raison, je ne dois pas me laisser aller.
 -Pourquoi ?
 -Parce que c'est comme ça. Je l'ai décidé.
 -Tu te trouves pas pathétique ?
 -Si. Un peu. Et donc toi aussi. Rendors toi. rendors toi, mon double, dans ma conscience, et emporte là avec toi, comme on tire une couverture. Je ne veux pas penser. "



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